toiles, l’artiste met en scène « ce couple fusionnel que forme l’homme avec le cheval ».Sur un fond à l’huile, elle travaille ses oeuvres au couteau et au sable.
Alors que les « Centaures » se situent plus dans des tons de terre, les « Pop culture » se placent dans un élan dynamique avec des fonds de couleurs vives et une impression de danse dégagée par l’animal.
Une troisième série sera aussi accrochée pour cette exposition. Il s’agit d’un travail de gouaches où l’on notera l’apparition du taureau aux côtés du matador à cheval.
Pour mettre en scène ces chevaux, Hizelaya a étudié pendant plus de trois mois ces bêtes et surtout leurs positions. « Progressivement, c’est devenu une obstination, je ne faisais que penser à la façon de mettre en scène ce couple », raconte-elle.
L’artiste travaille maintenant sur de nouveaux sujets, plus proches de l’actualité. « Je pense que l’artiste peut, non seulement exprimer des sensations, mais aussi un regard sur des thèmes plus difficiles. » Nous n’en saurons pas plus pour l’instant, l’artiste préférant se réserver pour des expos futures.
Pour le moment, laissons-lui la place. Peut-être sera-t-elle le 16 août à Dax, jour où Pablo Hermoso de Mendoza devrait se produire aux arènes.